Mes débuts avec Maître Justin

Catégories : Rencontres BDSM
il y a 4 ans

J’étais au point de rendez-vous à 10h, comme convenu avec Maître Justin. Ce dernier est arrivé peu de temps après et m’a fait monter dans sa voiture. Trouvant un chemin discret s’enfonçant dans la forêt sur la route, il s’y est engouffré et quelques dizaines de mètres plus loin, à l’abri des regards. Il m’ordonna alors de descendre, d’aller derrière le véhicule et de me mettre nu. Les choses sérieuses allaient donc commencer. Bien sûr, je n’étais pas surpris, Maître Justin m’avait prévenu dans nos échanges de mail que cela allait arriver. Mais quand même, l’angoisse montait et, bien sûr, l’excitation qui en résultait avec. Rapidement, je fus nu et je dus m’allonger dans le coffre de la berline. Là, bien installé sur le côté, en position fœtale, les fesses vers l’ouverture. Devant ce spectacle, le dominant n’hésita pas et me claqua vigoureusement les fesses, certainement pour me mettre en position. Dans ces mains, il tenait une fine chaînette reliant de pinces à sein dont on pouvait régler l’intensité de la morsure des pinces. Il me les installa sur les tétons. Je craignais la douleur qui allait en résulter, mais le réglage était assez lâche et ce n’était donc pas trop désagréable de les porter. Puis, Maître Justin referma le coffre et la voiture démarra quelques secondes plus tard. C’était une sensation étrange de me retrouver ainsi, nu et enfermé dans un coffre de véhicule, des pinces sur les seins. Mais c’était très excitant, tellement d’ailleurs que j’avais une érection.

Quelques minutes plus tard, le véhicule s’arrêta et je compris que l’on était arrivé chez mon nouveau maître. Toujours prévenant, il me demanda si ça allait et me prévint qu’il allait me laisser là-dedans quelques minutes. Tous mes sens étaient en éveil, cherchant à déceler le moindre indice de ce qui allait m’arriver. Malheureusement pour moi, impossible de deviner quoi que ce soit. Finalement, Maître Justin ouvrit le coffre. Je mis du temps à me réhabituer à la lumière mais ce temps fut bien employé puisque je reçus une ou deux claques sur mon postérieur. Puis, je fus extrait du coffre et immédiatement mes yeux furent bandés par un foulard et mes poignets liés derrière le dos. Puis je sentis une lanière passer derrière mes testicules et se refermer en emprisonnant ma verge avec. En tirant sur la lanière, mon maître me fit comprendre que je devais le suivre, tenu ainsi en laisse par les parties intimes (c’était en fait une laisse pour chat). Prudemment à cause de cette cécité temporaire, je le suivis, ainsi dirigé par les tractions de la laisse, jusque dans son salon. Ce n’est que là qu’il m’ôta le bâillon. Il me parla un peu tout en jouant à me taquinant le sexe toujours dressé par de petites claques. Il profita également de ce moment pour resserrer un peu les pinces qui ornaient mes tétons. La situation était terriblement excitante ; j’étais chez un nouveau maître à sa merci.

Après le déjeuner, Maître Justin eut envie de voir les quelques objets et accessoires que j’avais amené à sa demande. Après lui avoir présenté les quelques plug que j’avais avec moi, il me fit mettre à quatre pattes, et cambrer mon cul. Malheureusement, j’eus quelques difficultés à bien mettre en évidence ma croupe, ce qui me valut quelques coups sur les fesses. Puis, il entreprit de me taquiner les sphincters, s’aidant pour ce faire des plugs. Etant encore débutant dans la pénétration anale, je ne pus « avaler » qu’un plug de taille modeste. Cependant, le sentiment d’humiliation, lui, n’avait rien de modeste. Etre à quatre pattes et se faire goder par un maître, ce n’est pas anodin. Ensuite, les pinces à seins retrouvèrent leur place sur mes tétons. Mais cette fois, les pinces avaient été nettement resserrées et leur préhension sur mes tétons fut tout de suite assez douloureuse. Trouvant que mes testicules étaient petites et ne pendaient pas beaucoup, Maître Justin décida de les travailler. Pour ce faire, il noua un ficelle sur plusieurs tours entre mes joyeuses et mon pénis, pour bien les séparer. Rapidement, je vis mes testicules prendre des teintes violacées sous l’effet de ce bondage. Malheureusement, je dus demander à mon maître de me libérer à cause d’une vive douleur aux testicules.

Dans l’après-midi, ayant envie d’uriner, mon Maître m’emmena dans les toilettes pour que je lui serve de cuvette. A genoux entre ses jambes, je dus boire toute l’urine qui sortit de son urètre, sans en perdre une goutte, sous peine de sanction. C’était une première pour moi et je crois que c’était la tâche la plus dégradante que j’ai eu à accomplir jusque-là.

Le soir venu, mes tétons étaient en feu, mon anus à peine mieux et mon esprit était profondément marqué. Après le repas, Maître Justin eut envie que je prenne soins de ses pieds pendant qu’il dégustait son café devant la télé. Aussi, à genoux, je m’exécutais, d’abord en les massant, puis en les léchant et suçant. Cette session dura un long moment mais je m’appliquais de mon mieux pour satisfaire mon maître.

Le lendemain matin, Maître Justin entreprit de me raser le sexe et le sillon interfessier. Une fois bien lisse, ce fut à mon tour d’entretenir la pilosité de mon maître. Puis, j’eus le droit de le laver, en insistant bien sur son anus que je doigtais généreusement.

Après le déjeuner, mon maître voulut profiter encore un peu de moi avant de nous séparer. Aussi, il me fixa sur mes mamelons des pinces à clamper. Heureusement les tétons, déjà assez douloureux, étaient relativement épargnés. Mais l’objectif étant de les rendre aussi durs et turgescents que les siens, il faut bien en passer par là. Puis, il remplaça ces pinces par des allumettes retenues avec un élastique. Une fois ainsi préparé, il me fit m’agenouiller sur un tabouret et commença à me flatter les fesses à l’aide d’une branche d’orties. Quelques claques les firent rougir également un peu plus. Maître Justin, consciencieux, s’appliqua à bien me frotter la plante urticante sur tout mon bassin, en insistant bien sur l’entrejambe et les testicules. La sensation était à la fois désagréable et agréable. Drôle de mélange. Ensuite, il me fit m’allonger sur le dos, les jambes relevées à 90° par rapport à mon torse. Ayant reçu l’ordre de fermer les yeux, je ne savais pas ce que Maître Justin préparait. Mais il ne me fallut pas beaucoup de temps pour le découvrir. En effet, sitôt que je sentis une minuscule brulure sur le torse, je compris que j’avais le droit à une petite séance à la cire. La sensation de brûlure est assez intense, surtout sur certaines zones du corps, mais l’effet se volatilise très vite et la peau n’en souffre pas. Mon torse et mon pubis furent ainsi ponctuées de gouttes de cires chaudes.

Ainsi s’est achevée cette séance riche en découvertes et en émotions. C’était la première fois que je me soumettais à un maître et j’en ai tiré quelques enseignements. Notamment, je me suis aperçu que je n’étais pas un grand masochiste, loin de là. Néanmoins, il faut bien souffrir un peu pour faire honneur à son maître. Maître Justin s’est avéré être un dominant expérimenté et attentionné.

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